T-2019

Le Terminator est à Cameron ce qu’est l’Alien à Scott…
Les vieux jours arrivant, ils doivent fermement regretter d’avoir laissé leur « bébé » leur échapper…

Deux franchises qui sont parties très très forts mais une fois le vol. 2 passé, n’ont fait qu’emprunter un chemin douloureux… En même temps, vous me direz, difficile de faire mieux que mieux puisque les deux vol.2 respectifs (Aliens, Cameron 1986 ; T2: Judgment Day, Cameron, 1991) concourent dans la catégorie « suite meilleure que l’originale ». (Clairement le cas pour T2, pour AlienS, toujours quelques réserves très personnelles)

On peut au moins préférer à la série Alien d’offrir à chaque fois un film radicalement différent dans son approche, thématique et esthétique. Et même si l’ensemble manque cruellement d’homogénéité et assez inégal, au moins y en a pour tout les goûts et les couleurs (merci Jeunet brrr).

Les trois derniers réal des Terminator eux, ne font que courir derrière l’action man Cameron…

… avec une volonté, pour les deux derniers, de relancer une nouvelle trilogie qui finit à chaque fois par avorter dans l’oeuf. Au final, la cohérence de l’ensemble s’en voit entacher et c’est peu dire…

Et on nous refait le coup de la nouvelle trilogie… Ainsi que la continuité à la Blomkamp (cf Aliens). Je reste quand même tiraillé entre le côté fun et nostalgique du cast annoncé et… le fait qu’il va quand même falloir un jour tourner la page Arnold…